Nous désirions plus que tout nous dépayser pour nos dernières vacances. Malheureusement notre budget ne nous permettait pas de partir à l’autre bout du monde, sous les cocotiers. Alors en attendant de prendre l’avion pour découvrir une autre culture, nous avons décidé de partir en Vendée. Nous ne savions pas à quel point le séjour allait être merveilleux, notamment grâce à ce camping les pieds dans l’eau.

C’est au camping de la Plage de Riez que nous avons posé nos valises. Cet établissement 3 étoiles est un camping les pieds dans l’eau en Vendée. Autant vous dire que le dépaysement on a pu l’avoir sans souci ici. Et comme nous avons gagné sur le budget transport, nous avons pu nous faire de nombreux plaisirs à côté. Les restaurants face à la mer et autres parcs de loisirs ont ponctué nos vacances pour notre plus grand bonheur.

Mais j’avoue que ce que j’ai le plus apprécié c’est ce camping les pieds dans l’eau en Vendée. Nous étions dans un cadre exceptionnel, au cœur de la forêt. Ce sont les oiseaux qui me réveillaient. Dès mon lever, pendant que toute ma petite famille dormait, je me faufilais hors de notre mobil-home et je prenais la direction de la plage. Pouvoir sentir le sable fin sous mes pieds, avoir la plage pour moi et emplir mes poumons de ce bon air iodé m’a fait un bien fou. J’étais rechargée à bloc. Ensuite, je rentrais au camping afin de récupérer du pain frais et des viennoiseries que je déposais sur la table de notre terrasse. C’était un plaisir de prendre le petit déjeuner tous ensemble.

Puis notre programme de la journée variait. Nous pouvions partir explorer la région ou opter pour des moments farniente au bord de la piscine. Mais une chose est sûre, nous allions au moins une fois par jour tremper les pieds dans l’eau tempérée de Vendée. Ce camping a été un véritable havre de paix et toute la famille a été comblée. Par conséquent, nous avons d’ores et déjà réservé pour nos prochaines vacances au camping de la Plage de Riez. Si vous aussi cette idée vous tente, voici leur numéro : 02 51 54 36 59.

Récit d’Isabelle D.